Cette première conférence, bilingue (français – anglais), IDL-2S (Internationale sur le Digital Learning – Service au Savoir) à l’Ile Maurice, par sa localisation et son aspiration à devenir un ‘Knowledge Hub’, se donne pour ambition d’ouvrir largement la question dans la région et de faire évoluer les représentations sur ce que peut être apprendre et enseigner à distance. Et ce faisant, d’encourager le développement du e-learning à Maurice.
L’objectif de toute institution éducative est de servir les savoirs, pour la formation et le développement des élèves et des apprenants, ainsi que de favoriser l’activité des enseignants et des formateurs.
Depuis une trentaine d’année, la littérature scientifique a déjà largement instruit les enjeux et les pratiques liées aux évolutions de la formation sous l’influence des technologies et des réseaux numériques. Ce processus majeur dans le monde de l’éducation et de la formation n’est pas terminé.
Cette conférence s’inscrit dans un esprit de partage et d’échanges sur les dispositifs et les pratiques en éducation et en formation, soutenus par les technologies et les réseaux numériques. Une des questions au cœur de cette conférence est de questionner ces technologies et les pratiques et dispositifs qu’elles permettent, et la manière dont elles servent les savoirs, les apprenants, les enseignants et les formateurs.
Les communications attendues peuvent porter sur la compréhension du e-learning, les dispositifs de formation, les interactions à distance, les pratiques et les modèles pédagogiques, les démarches d’ingénieries de formation en contextes, sur la didactisation des contenus et des savoirs en formation à distance. De manière générale, il s’agit bien de faire un état des lieux des pratiques, qu’elles soient pédagogiques, didactiques, ingénieriques, organisationnelles, entre autres, et d’en discuter les évolutions et les perspectives.
L’entrée par le service aux savoirs des technologies numériques nous amène à en traiter des usages dans trois orientations : technique, pédagogique et ingénierique. Les communications seront organisées principalement (mais pas exclusivement) autour de trois axes thématiques.
Une publication des actes est prévue.