A noter dans la conclusion : « Persée, Mathdoc et le CCSD ne disposent pas d’une visibilité pluriannuelle des budgets qu’ils pourraient engager pour assurer le développement de leurs offres. Il suffit qu’une tutelle réduise ou cesse sa participation, à la suite d’un changement de gouvernance par exemple, pour que leur budget soit impacté significativement. Le CCSD ne dispose d’aucun budget spécifique pour le développement et la maintenance d’Episciences (le MESRI lui a versé 20 K€ en 2017 à ce titre, mais ce financement n’a pas été renouvelé). Mathdoc a bénéficié d’un financement exceptionnel en 2017 dans le cadre de l’IDEX de l’Université Grenoble-Alpes qui lui a notamment permis de développer la plateforme du Centre Mersenne. Pour OpenEdition, le financementd e 7 M€ sur 8 ans du projet Digital Library for Open Humanities (DILOH) par le dernier Plan d’investissement d’avenir s’achèvera fin 2019. Si un nouvel investissement de ce type n’était pas reconduit, OpenEdition devrait se défaire d’une quinzaine de collaborateurs et rencontrerait d’importantes difficultés pour poursuivre l’exploitation de ses 4 plateformes (OpenEdition Journals, OpenEdition Books, Hypothèse et Calenda). »
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