Ce livre porte sur la façon dont les didacticien.ne.s et les enseignant.e.s de langues se sont (ou non) approprié les problématiques de la variation dans l’enseignement de langues que l’on appelle parfois, dans une terminologie un peu fluctuante et pas toujours satisfaisante, « petites langues », « langues moins didactisées », langues moins diffusées », « langues modimes », « langues rares » (dans certains systèmes éducatifs s’entend), et bien sûr « langues minoritaires/minorées », etc.
Les contributions portent, par ordre alphabétique sur : l’alsacien, l’amazighe, l’arabe, le basque, le chinois, le corse, le ghomala’, l’indonésien, le japonais, le malgache, l’occitan, le picard, le tchèque, le (parler) saint-martinois
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